Michèle Saint-Remy

Parlant de mon travail, je dirai que j’aime faire tout autant qu’installer, c’est-à-dire que je tiens à créer moi-même les volumes que je veux mettre en oeuvre.

Je regarde la vie quotidienne, là où j’habite mais aussi ailleurs : je la traduis, et je la réorganise aussi.

Pour cela je me nourris de voyages qui me font me dilater dans l’espace, tout comme la contemplation des oeuvres du passé ou du présent me dilate dans le temps.

Pour en savoir plus: http://alamargepointk.canalblog.com/

Venir à l'exposition en venant de la région parisienne :

Prendre l’autoroute A10 direction Bordeaux. Sur l’A10 à Orléans prendre direction Blois Tours Bordeaux. Sortir à Meung sur Loire, puis prendre N 152 direction Blois jusqu’à Beaugency

Passer Beaugency, Tavers est la première commune après Beaugency en direction de Blois. Dépasser un rond point au milieu d’une zone d’activités commerciales, suivre direction Blois puis après être passé entre Point P sur la gauche et Bricomarché sur la droite, tourner à la deuxième rue à Gauche. C’est la rue Haute Guignière. Le N° 71 se trouve à 100 mètres sur la droite.

Pour en savoir plus: http://alamargepointk.canalblog.com/

Venir à l'exposition: itinéraire

Mes coordonnées sont :

Michèle Saint-Remy, 453 rue du général De Gaulle, 45160 Olivet (près d’Orléans)

Téléphone : 02 38 63 42 85

Atelier à Orléans.

Je reste à votre entière disposition pour vous accueillir dans mon atelier et vous montrer mon travail, travail qui ne peut s’apprécier, il me semble, que sur place. C’est alors aussi que l’on peut réellement définir les prix.

Cependant la base de départ est la suivante :

Pour les terres cuites, de 550 € à 950 €,

Pour les petits dessins, de 85 € à 170 €,

Pour les grands dessins, autour de 1.100 €.

Quant aux grandes sculptures, et aux projets présentés en maquettes, tout dépend de la taille, du matériau définitif (on peut mouler en ciment - si les formes ne sont pas trop compliquées - en résines - avec de multiples possibilités de teintes - ou en bronze), mais aussi du travail du mouleur.

Celui-ci est fonction de la complexité des formes (le moulage d’un oeuf étant plus facile - et donc demandant moins de temps de travail - que celui d’un drapé).

Le prix du travail de l’artisan étant ainsi posé - et incompressible - on peut partir de la base suivante :

Le prix de vente sera de deux fois la somme totale du prix de revient (artisan, transport, etc).

Je dis bien que ceci est une base, celle-ci pouvant être négociée dans certains cas.

J'ai eu la chance de pouvoir bénéficier des encouragements et de l'aide d'amis, de professionnels ou d'organismes et je leur suis sincèrement reconnaissante.

Il n'est pas possible de tous les mentionner, mais je souhaite exprimer ici mes remerciements à Marie-Claude STEFANI pour ses magnifiques photographies et sa grande disponibilité ; à Gabrielle HARDY-ENGELSON & Erik STARCEVIC à l'origine de ce projet de site web et sans lesquels la mise en ligne n'aurait jamais été qu'un rêve...

Jusqu’au 26 novembre, le service culturel de Saran invite à découvrir au Château de l’Etang les sculptures de Michèle Saint-Remy. Une dizaine d’œuvres exceptionnelles avec des jeux de formes représentant le thème choisi par l’artiste qui sont des choses vues, des anecdotes, des scènes de mythologie, travaillées dans son atelier.

in La République du Centre du 14 novembre 2006

« Les Portes » de Michèle Saint-Remy, artiste dont l’atelier se trouve à Orléans, avaient été achetées par la municipalité de gauche [1989-2001] en 2000, mais jamais exposées ? Elles trouveront finalement leur place mercredi au Parc Floral [de la Source, commune d’Orléans].

…Les portes en bronze de 2,40m de haut et pour chaque battant de 0,80m de large … n’avaient jamais pu trouver une place en ville …

Trouver une place à ces importantes portes de bronze s’est avéré complique … L’histoire s’est dénouée Quand Dominique Jammot, du Muséum [d’Orléans] [m’] a fait rencontrer Yves Dupont … L’élu convainc Michèle Saint-Remy de s’orienter sur le Parc Floral. Le dialogue aboutit à un sentier (qui remonte vers le coteau) juste avant un arbre qui forme comme une voûte … Une fois la sculpture posée … l’envers sera caché par un buisson fleuri. L’artiste est aux portes du bonheur !

Anne-Marie Coursimault

in La République du Centre du 4 août 2006

L’artiste a travaillé en 1978 pour la Coopérative d’Habitat rural. L’architecte lui avait prêté un local. Le site comportait des hangars de carrossier et était envahi par les herbes hautes . Michèle Saint-Remy avait l’impression d’être dans le château de la Belle au Bois Dormant, et a réalisé les portes. Elles comportent dix bas-reliefs représentant les hangars et la végétation transformée en personnages, de sorte que l’on peut imaginer une foule ou une jungle. Elle a fait fondre l’œuvre en bronze chez Clementi à Meudon. Les portes ont été exposées à Paris [en 1980 / au Salon de la Jeune Sculpture] et à Blois [en 1984 : aux Artistes de la Région Centre]

in La République du Centre du vendredi 4 aout 2006